• dragon ball z

    Dragonball Z: Résumé: Quelques années se sont passées depuis la fin de la série Dragonball, et Sangoku a maintenant un fils âgé de 4 ans: Sangohan. Mais apparaît un extra-terrestre, Raditz, qui s'avère être le frère de Sangoku. Raditz révèle les véritables origines de Sangoku, et exige de lui qu'il travaille avec lui pour conquérir des planètes. Sangoku refuse. S'en suit un combat pendant lequel Raditz est tué par Piccolo grâce au sacrifice de Sangoku. Avant de mourir, Raditz annonce la venue dans un an de Vegeta et Nappa, deux Sayïens encore plus puissants que lui. Tout le monde s'entraîne en vue de l'affrontement. En particulier Sangoku qui suit les cours de Maître Kaïo. Sangoku est ressuscité peu après l'arrivée de Vegeta et Nappa. Mais ceux-ci ont déjà eu le temps de tuer Yamcha, Tenshinhan et Chaozu, ainsi que Piccolo. Sangoku tue alors Nappa et affronte Vegeta. Après un combat titanesque, Sangoku laisse s'échapper Vegeta alors qu'il pouvait l'achever (mangas n°18, 19, 20). Pour ressusciter les victimes de Nappa et Vegeta, Krilin, Bulma et Sangohan se rendent sur Namek, où il y a aussi des Dragonballs. Là-bas, ils retrouvent Vegeta, mais ils font connaissance avec un terrible ennemi: Freezer. Après quelques aventures, Sangoku arrive et bat Freezer lors d'un terrible combat. Les victimes de Nappa et Vegeta sont ressuscitées peu après (mangas n°21, 22, 23, 24, 25, 26, 27). Quelques années plus tard, un jeune garçon retrouve notre joyeuse bande: il dit venir du futur et est venu les avertir de a naissance imminente d'un terrible monstre: Cell. En fait, ce jeune homme s'appelle Trunks et est le fils de Vegeta et Bulma. Bref, rebelote: tout nos amis s'entraînent, et le monstre fait sont apparition. Cette fois-ci, c'est Sangohan qui éliminera l'ennemi de la Terre au cours d'un combat pendant lequel Sangoku perdra la vie (mangas n°28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35). Résumé dbz: Toujours plus tard, alors que Chichi a eu un deuxième enfant, Sangoten et que Krilin, qui s'est marié avec C17 a une petite fille qui se nomme Marron, une nouvelle épreuve attend nos amis: Buu. Ce monstre est terriblement fort, et même Sangoku, qui est ressuscité pendant 24 heures, ne peut en venir à bout. Même la fusion de Sangoten et Trunks, et surtout celle de Vegeta et Sangoku ne permettent pas d'éliminer Buu. Mais finalement, en récoltant l'énergie vitale des humains, Sangoku crée une énorme boule d'énergie qui détruit le méchant (mangas n° 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42). Commentaires: Alors, pourquoi avoir changé de nom alors que Dragonball Z est bien la suite de Dragonball? Et bien parce que les changements sont nombreux. Tout d'abord, le trio humour-aventure-action qui avait fait le succès de Dragonball fait largement la part belle à l'action, au détriment de l'humour et de l'aventure. En effet, les occasions de rires sont font nettement moins nombreuses, et l'humour devient beaucoup plus conventionnel: exit les petites culottes, les grimaces extraordinaires, les petites touches 'scato' qui faisaient le charme de Dragonball. Les personnages sont beaucoup plus sérieux, Sangoku n'est plus un enfant immature et insouciant, mais un jeune homme père de famille. De plus, le trait douillet de Dragonball fait place dans Dragonball Z à un trait beaucoup plus saillant. D'autre part, la richesse scénaristique de Dragonball fait défaut dans Dragonball Z. Le scénario se répète trois fois de la même manière: un grand méchant pas bô vilain apparaît et menace le monde. Malgré tous les efforts pour tenter de réduire les projets du grand méchant pas bô vilain, le combat est inévitable et il est battu au dernier moment alors que tout était perdu. Il suffit de remplacer 'grand méchant pas bô vilain' successivement par Freezer, Cell ou Buu pour avoir la trame principale de Dragonball Z. Les aventures qui précèdent le combat (que ce soit la quête des Dragonballs sur Namek, l'arrivée de Trunks venant du futur ou encore la tentative pour empêcher Buu de naître) deviennent alors creuses, et ne servent que de prétexte à l'affrontement final. Reste l'action. Et là, force est de constater que Toriyama tire son épingle du jeu et qu'il sait parfaitement mettre en valeur les combats. Toriyama sait faire en sorte qu'un combat ne ressemble pas à un autre. Tout d'abord, évidemment, la montée en puissance de Sangoku, savamment mesurée, qui devient Super Sayïen face à Freezer, puis qui atteint le deuxième stade du Super Sayïen face à Cell et le troisième stade face à Buu. Les personnages deviennent eux aussi de plus en plus forts: contre Freezer, seul Sangoku parvient à se transformer en Super Sayïen, alors que contre Cell ils sont quatre à pouvoir le faire: Sangoku, Vegeta, Trunks et Sangohan. Et contre Buu, les personnages issus de la fusion ont une puissance encore plus impressionnante. Cette surenchère de puissance est une des clés du succès de Dragonball Z: 'où s'arrêteront-ils??'. D'ailleurs, cette idée de la transformation de personnages (Sangoku peut se transformer 3 fois, Freezer également, Super Sayïen face à Cell lui peut se transformer deux fois) est une idée toute neuve. On peut voir ça comme une application de la règle 'comment faire du neuf avec du vieux', mais on peut aussi dire que c'est une trouvaille géniale. Idem pour la technique de la fusion. Et puis, ces guerriers qui ont la faculté de se transformer et qui sont entourés d'une aura d'énergie, qui sont capables de créer des kamehamehas toujours plus puissants qui peuvent détruire des planètes entières, qui peuvent se déplacer instantanément aux quatre coins de l'univers, c'est la concrétisation de nos mâles fantasmes, avides de baston et de force, et on peut dire que la série Dragonball Z est alors destinée à un public enfant/adolescent. Bref, même si j'avoue préférer Dragonball à Dragonball Z, je ne rechigne pas à me délecter d'un manga de cette dernière série. Mais malgré tout, on sent derrière Dragonball Z que Toriyama n'est plus le maître de son oeuvre et que des impératifs commerciaux commencent à prendre le dessus: 'la baston, ça plait, alors il faut que tu mettes de la baston dans tes mangas'. Et même si Akira Toriyama est un narrateur hors-pair d'une inventivité incroyable, la série Dragonball Z s'essouffle sérieusement sur la fin, surtout pour le dessin animé: il y a des épisodes où il ne se passe tout simplement rien de significatif

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